Introduction
Allumer 100 bougies sur un gâteau, ça peut être très long. C'est pour cela que le Centre Pompidou a préféré célébrer les 100 ans du surréalisme d'une autre manière. Le musée d'Art moderne organise une grande exposition autour de ce mouvement du milieu du XXe siècle. L'exposition Le surréalisme. L'exposition du centenaire (1924-1969) rassemble de nombreuses œuvres réalisées par les plus grands artistes représentatifs de ce mouvement. Salvador Dali, René Magritte, Dorothea Tanning, Tatsuo Ikeda, Giorgio de Chirico, Leonora Carrington, Max Ernst, Helen Lundeberg, Joan Miro et bien d'autres se retrouvent dans ce parcours artistique conçu comme un labyrinthe, qui abrite en son cœur le Manifeste original d'André Breton, le texte fondateur du surréalisme
Pour son exposition de réouverture après plus d’un an de travaux, le Musée Jacquemart-André présentera une quarantaine de chefs-d'œuvre de la célèbre Galerie Borghèse à Rome. Ce partenariat exceptionnel entre les deux institutions offre une occasion unique d’admirer un ensemble d’œuvres majeures d’artistes célèbres de la Renaissance et de la période baroque rarement prêtées à l’étranger, du Caravage à Rubens, en passant par Botticelli, Raphaël, Titien, ou encore Véronèse, Antonello da Messina et Bernin.
La Villa Borghese Pinciana, qui abrite aujourd’hui la Galerie Borghèse, fut construite entre 1607 et 1616 sur ordre du puissant cardinal Scipion Borghèse (1577-1633), neveu du pape Paul V (1550-1621). S’inspirant des luxueuses villas romaines, Scipion souhaitait consacrer ce palais entouré de jardins à l’exposition de ses collections d’œuvres antiques et de peintures et sculptures modernes, évoquant un nouvel âge d’or. Doté d’un goût sûr, d’une insatiable curiosité et d’une extraordinaire capacité à déceler les chefs-d'œuvre. Il s’est ainsi imposé comme l’un des premiers et des plus importants collectionneurs et mécènes de l’histoire de l’art moderne, faisant de la Villa Borghese un véritable musée avant la lettre.
Il était une fois Paris. Où l'histoire a commencé sur l'ile de la cité. C'est là que Notre-Dame pris son plus envol, par sa cathédrale. Après l'incendie qui a ravagé le monument historique en avril 2019, la belle rouvre ses portes.
Sous le parvis de Notre-Dame, se trouve aménager le musée de la crypte. La découverte des bâtiments qui se sont succédé sur le site, de l’Antiquité au XXe siècle, invite le visiteur à remonter le fil du temps. Quai du port de l’antique Lutèce, établissement de bains publics gallo-romain, mur d’enceinte du début du IVe siècle, sous-sol de l’ancienne chapelle de l’Hôtel-Dieu, restes médiévaux de la rue Neuve Notre-Dame, fondations de l’hospice des Enfants-Trouvés, tracés des égouts haussmanniens : le passé antique, médiéval et classique, revit. Ranimant la mémoire d’un des plus anciens quartiers de Paris, la crypte montre comment, depuis plus de deux mille ans, la Ville lumière n’a cessé de se reconstruire sur elle-même.
Exposition Caillebotte au musée d'Orsay. Dans sa volonté de produire un art vrai et neuf, Caillebotte prend pour sujet son environnement immédiat (le Paris d’Haussmann, les villégiatures des environs de la capitale), les hommes de son entourage (ses frères, les ouvriers travaillant pour sa famille, ses amis régatiers, etc.) et en fin de compte sa propre existence. Répondant au programme « réaliste », il fait entrer dans la peinture des figures nouvelles comme l’ouvrier urbain, l’homme au balcon, le sportif ou encore l’homme nu dans l’intimité de sa toilette. À l’époque du triomphe de la virilité et de la fraternité républicaine, mais aussi de première crise de la masculinité traditionnelle, la nouveauté et la puissance de ces images questionnent aussi bien l’ordre social que sexuel. Au-delà de sa propre identité, celle de jeune et riche célibataire parisien, Caillebotte porte au cœur de l’impressionnisme et de la modernité une profonde interrogation sur la condition masculine.
Étudiée par l'histoire sociale et culturelle, la fascinante figure du fou, qui faisait partie de la culture visuelle des hommes du Moyen Âge, l'a rarement été du point de vue de l'histoire de l'art : pourtant entre le XIIIe et le milieu du XVIe siècle, la notion de folie a inspiré et stimulé la création artistique, aussi bien dans le domaine de la littérature que dans celui des arts visuels.
L'exposition « Figures de Fou » au musée du Louvre, ambitieuse et stimulante, entend aborder la figure typiquement médiévale du fou à travers ses représentations. Elle rassemblera au sein d’un parcours chronologique et thématique plus de 300 œuvres : sculptures, objets d'art (ivoires, coffrets, petits bronzes), médailles, enluminures, dessins, gravures, peintures sur panneau, tapisseries.
Programme
PROGRAMME :
- Surréalisme. L’exposition du Centenaire au centre Pompidou
- Chefs d'oeuvre de la collection Borghèse au musée Jacquemart-André
- Réouverture de Notre Dame et visite du musée archéologique sous le parvis
- Gustave Caillebotte au musée d'Orsay
- Exposition « Figures de Fou » au musée du Louvre
- Tour pédestre quartier de l'île de la cité.
Prix & Pratique
PRIX
Prix : 770 €/pers. - Supplément - single : 230 €
Acompte : 300 €/pers.
COMPREND :
- Hôtel ***, petits-déjeuners
- Train Eurostar aller-retour
- Entrées aux monuments et aux musées
- Transports
- Prestations guidées
- Documents de voyage
NE COMPREND PAS :
- Repas
- Taxes de séjour
- Assurance-annulation