Inscriptions closes
Paris
Paris
Ah, la belle époque !
Du 7 au 10 décembre 2023
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Introduction

Paris est un voyage au long cours ! Nul passeport n'est réclamé pour y pénétrer. Il suffit d'errer à travers ses ruelles pour y découvrir la belle. Franchir le seuil pour éprouver le sentiment de basculer dans le rêve. On croit au mirage. Ça ! C'est Paris !

Depuis la fin du XXe siècle et tout au long du premier quart du XXe siècle, Paris attire les artistes venus du monde entier et constitue le foyer d’un formidable rayonnement culturel. Paris est au cœur de l’innovation et de « ce qui se fait ».

Élève de Corot, muse de Manet, Berthe Morisot (1841-1895) s’impose comme la première femme impressionniste et sera aux côtés de Monet, Renoir, Degas, Pissarro l’un des principaux membres du groupe. Le musée Marmottan présente l’exposition « Berthe Morisot et l’art du XVIIIe siècle. Watteau, Boucher, Fragonard, Perronneau ». Paysages de Normandie, marines niçoises, jardins fleuris et portraits de jeunes filles en fleur retracent son évolution artistique. Son goût pour les couleurs claires et pastel, son don pour le dessin et sa liberté de facture ont fait l’admiration de ses amis.

L’exposition se propose de rechercher l’origine de cette inspiration, de montrer, à l’appui d’œuvres du XVIIIe siècle, confrontées à ses propres œuvres emblématiques de l’Impressionnisme, les manifestations et la forme de son imprégnation et de sa compréhension du génie du siècle des Lumières.

C'est dans le quartier que les artistes d'avant-garde développèrent leur art. Pendant toute la première partie du XXe s., Montparnasse devient en outre un centre international de la bohème, peintres et sculpteurs comme Picasso, Modigliani ou Zadkine y trouvèrent des ateliers pour travailler et des écrivains et poètes de tous les pays les rejoignent: Apollinaire, Max Jacob, Henri Miller. L'église Notre-Dame-du-Travail révèle une fois son seuil franchi une époustouflante structure de fer et d'acier. Un quartier truffés d'endroits insolites et de cafés et brasseries typiques. Depuis 1927, La Brasserie mythique La Coupole est le symbole incontournable de l'histoire du Montparnasse. Dans un décor art déco, aux peintures de Chagall et Brancusi, inscrit au patrimoine historique, le Chef propose une cuisine française avec des plats incontournables des grandes Brasseries Parisiennes. Et si on prenait une pause pour manger.

Le cimetière de Montparnasse regorge nombreux artistes et écrivains. Dans un espace vert aux multiples essences d'arbres, cette vaste nécropole possède des lieux de repos décorés de sculptures , céramiques et peintures aux souvenirs des artistes qui ont fréquentés le quartier.

À l’occasion de la célébration du 50e anniversaire de la mort de Picasso, le Musée du Luxembourg propose une grande exposition sur l’histoire d’une amitié hors norme, entre deux icônes du XXe siècle, Pablo Picasso et Gertrude Stein.

Gertrude Stein (1874-1946), une immigrée juive américaine, à la fois écrivaine, poète et esthète, s’installe à Paris dès 1903 peu après l’arrivée de Picasso, alors jeune artiste. Leur position d’étrangers et leur marginalité fondent leur appartenance à la bohème parisienne et leur liberté artistique. Leur amitié s’est cristallisée autour de leur travail respectif, fondateur du cubisme et des avant-gardes picturales et littéraires du XXe siècle. Leur postérité est immense.

Le musée de l'Orangerie met en lumière une période particulière dans la carrière d'Amedeo Modigliani : les années où Paul Guillaume devient son marchand. L'occasion de découvrir les liens qui ont uni l'artiste et son mécène. Un événement inédit qui se concentre sur un moment précis de la carrière du peintre et sculpteur: les années où Paul Guillaume (1891-1934) est devenu son marchand. Un siècle après leur rencontre, cette exposition explore les liens qui unissent l’artiste et son mécène : du soutien du collectionneur à la spécificité des œuvres produites pendant cette période, en passant par leurs passions communes.

Plus d’une centaine de toiles, une cinquantaine de dessins et une dizaine de sculptures de Modigliani sont passées entre les mains de Paul Guillaume. Ce nombre dénote à la fois l’implication du galeriste dans la promotion de l’artiste mais aussi son goût personnel pour ses œuvres, largement présentes sur les murs de ses différents appartements. Parmi celles-ci, Modigliani a brossé les portraits des figures majeures du Paris de l’époque, telles que Max Jacob, André Rouveyre, Jean Cocteau ou encore Moïse Kisling, mais aussi un ensemble de portraits des femmes qui ont partagé la vie de l’artiste, comme l’écrivaine Béatrice Hastings puis la jeune peintre Jeanne Hébuterne.

La collection du musée de l’Orangerie retrace certains pans singuliers de l’art du XXe siècle, qu’il s’agisse du grand décor des Nymphéas de Claude Monet, chef-d’œuvre ultime et fondateur de l’abstraction et des œuvres d’immersion, ou des collections particulières, caractérisée par la tension entre modernité et figuration, de Renoir à Matisse, de Cézanne à Picasso, du douanier Rousseau à Soutine.

Si l’avenue des Champs-Élysées est considérée comme la plus belle avenue du monde, ce n’est pas pour rien. Sous Napoléon III, bien avant les boutiques de luxe, elle était longée de très belles demeures. Si beaucoup ont disparu, il y reste toujours un hôtel particulier bien surprenant, celui de la marquise de Païva. Qui était cette envoûtante mondaine du Second Empire qui a fait bâtir cette extravagante maison ?

A la fin du XIXe siècle, on se rue vers les expositions universelles installées sur le Champ-de-Mars, grandiose événement à la gloire de la puissance du Second Empire où sont invités une quarantaine de pays. Le baron Haussmann a enfin achevé de transformer Paris. La butte de Chaillot, où s'érige l'Arc de triomphe, a été abaissée en un «promenoir» duquel partent en étoile les grandes avenues imaginées pour une ville de «Paris embellie, Paris agrandie, Paris assainie», comme le promettait le slogan. Sur les Champs-Élysées, La marquise de Païva pend la crémaillère de son hôtel particulier. La complétion du projet a duré dix ans et animé nombre de conversations. Les rumeurs ont enflé et le gratin parisien brûle de vérifier leur fond de véracité: la maison a-t-elle réellement coûté 10 millions de francs or? Avant même.

Installé au Palais Tokyo, le musée d'art moderne présente des oeuvres de toutes les principales tendances de l'art au XXe siècle. L’exposition Nicolas de Staël offre une occasion unique de plonger dans l’univers de l’artiste. Elle permet de suivre son parcours artistique et d’explorer les différentes phases de sa carrière. L'artiste a vécu de 1914 à 1955. Il a créé une œuvre foisonnante et variée en un temps relativement court. Cette exposition met,en valeur ses peintures les plus emblématiques. Des paysages abstraits aux natures mortes colorées, en passant par ses figures humaines intenses.

La lumière occupe une place centrale dans les œuvres de Nicolas de Staël. Il était fasciné par la manière dont la lumière transforme les objets et les paysages, leur donnant une nouvelle dimension. Ses coups de pinceau vifs et expressifs traduisent une tentative de capturer la luminosité et l’énergie de la vie. Les contrastes entre les zones claires et sombres créent une dynamique saisissante dans ses compositions, renforçant ainsi l’impact visuel de ses tableaux.

Paris 2

Programme

Jeudi 7 décembre :

Train Thalys Liège ou Bruxelles (selon votre choix) pour Paris. Transfert à l'hôtel. Repas de midi libre. Visite à Marmottan de l'exposition consacrée à Berthe Morisot et les peintres du XVIIIe siècle. Repas du soir libre. Logement à l'hôtel.

Vendredi 8 décembre :

Visite du quartier de Montparnasse, de l'église Notre-Dame-des ouvriers et du cimetière de Montparnasse. Repas de midi compris à la Coupole. Repas du soir libre. Logement à l'hôtel.

Samedi 9 décembre :

Visite du musée de l'Orangerie et de l'exposition Modigliani. Repas de midi libre, temps et soirée libres. Logement à l'hôtel.

Dimanche 10 décembre :

Visite de l'hôtel de la Païva, promenade dans le quartier Elysées et Chaillot. Visite de l'exposition Nicolas de Staël et de la collection du musée d'Art Moderne. Repas de midi libre. Retour pour reprendre le train Thalys pour Bruxelles ou Liège ( selon votre choix).

Paris 2

Prix & Pratique

PRIX

Prix : 760 €/pers. - Supplément - single : 230 €

Acompte : 300 €/pers.

COMPREND :

  • Hôtel ***, petits-déjeuners
  • Train Thalys aller-retour
  • Transports sur place
  • Entrées aux expositions
  • Repas de midi à la Coupole
  • Prestations guidées
  • Documents de voyage

NE COMPREND PAS :

  • Repas sauf un
  • Taxes de séjour
  • Assurance-annulation

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